Entre Noël et Jour de l’An, c’est Rouen ouverte à tou(te)s celles et ceux qui sont en congé et viennent y baguenauder en famille et Rouen fermée en ce qui concerne les lieux où j’aurais envie d’aller. Aussi, c’est réjoui que j’ai lu ceci sur le réseau social Effe Bé : « Le café de l'Ubi sera fermé du 20 décembre au 5 janvier. Mais rassurez-vous, le lieu sera ouvert et la galerie vous accueillera du mercredi au samedi de 14h à 19h. En l'absence de consommations servies au bar, vous pouvez comme d'habitude venir travailler, rencontrer des amis et apporter de quoi vous sustenter. »
Louable intention, mais quand je m’y présente ce vendredi vingt-six après-midi, l’une qui s’y trouve me dit que non c’est fermé. On y prépare une fête à laquelle je ne suis pas invité. Déjà, samedi vingt, la porte en était close. Je me rabats encore une fois sur le Socrate où je dois côtoyer des familles venues de l’Eure ou du Pays de Caux. Les femmes discutent biberons et le donnent. Les hommes discutent champagne et foie gras et en rêvent.
Autre désagrément du jour lié au réseau social Effe Bé, je me suis laissé prendre à l’un de ces échanges avec un « ami » qui finissent en dialogue de sourds, dont je me garde le plus souvent, le regrettant quand j’ai la faiblesse d’y céder. Contester un avis vous fait courir le risque d’être traité de troll par l’interlocuteur, autrement dit d’être disqualifié. Ce qui m’est donc arrivé, ce vendredi matin, par l’un qui fut naguère le spécialiste de l’information rouennaise (une entreprise qui déboucha sur un échec) et qui maintenant s’est recyclé dans le conseil en Internet, un domaine où il suffit d’avoir une information d’avance sur son public pour faire le sachant.
*
Cela me rappelle, du temps que j’étais étudiant à l’Ecole Normale d’Evreux, certain professeur d’anglais ayant dû compléter son service par des cours de linguistique. Nous n’avions pas mis longtemps avant de savoir que la science qu’il nous dispensait d’un air compétent, il l’avait acquise la semaine précédente à la fac de Rouen où il était inscrit comme étudiant (un peu âgé).
Louable intention, mais quand je m’y présente ce vendredi vingt-six après-midi, l’une qui s’y trouve me dit que non c’est fermé. On y prépare une fête à laquelle je ne suis pas invité. Déjà, samedi vingt, la porte en était close. Je me rabats encore une fois sur le Socrate où je dois côtoyer des familles venues de l’Eure ou du Pays de Caux. Les femmes discutent biberons et le donnent. Les hommes discutent champagne et foie gras et en rêvent.
Autre désagrément du jour lié au réseau social Effe Bé, je me suis laissé prendre à l’un de ces échanges avec un « ami » qui finissent en dialogue de sourds, dont je me garde le plus souvent, le regrettant quand j’ai la faiblesse d’y céder. Contester un avis vous fait courir le risque d’être traité de troll par l’interlocuteur, autrement dit d’être disqualifié. Ce qui m’est donc arrivé, ce vendredi matin, par l’un qui fut naguère le spécialiste de l’information rouennaise (une entreprise qui déboucha sur un échec) et qui maintenant s’est recyclé dans le conseil en Internet, un domaine où il suffit d’avoir une information d’avance sur son public pour faire le sachant.
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Cela me rappelle, du temps que j’étais étudiant à l’Ecole Normale d’Evreux, certain professeur d’anglais ayant dû compléter son service par des cours de linguistique. Nous n’avions pas mis longtemps avant de savoir que la science qu’il nous dispensait d’un air compétent, il l’avait acquise la semaine précédente à la fac de Rouen où il était inscrit comme étudiant (un peu âgé).