Ce mercredi, en début d’après-midi, j’utilise ma carte d’adhérent du Centre Pompidou où je vais moins qu’autrefois. Les expositions proposées depuis un certain temps sont souvent de celles que je n’irais pas voir sans cette carte. Celle qui, en ce jour légèrement pluvieux, me fait monter au sixième étage est la rétrospective David Hockney, hommage d’une institution qui fête ses quarante ans à un artiste qui en a deux fois plus.
Aucune attente pour entrer mais du monde à l’intérieur, je passe vite dans les deux premières salles qui montrent les tâtonnements de la jeunesse et arrive au bord de la piscine qui est automatiquement associée au nom de Hockney.
La peinture de David Hockney ne m’excite guère, superficielle et lisse qu’elle est. Que cette exposition ait lieu au moment de l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron est une coïncidence non dénuée de sens. D’ailleurs n’est-ce pas lui, Macron, de profil dans ce tableau de mil neuf cent soixante-neuf ? Il montre le duo Henry Geldzahler/Christopher Scott. Ce dernier, montré de profil, est le quasi sosie par anticipation de notre Jupiter.
Un groupe en visite guidée suit une femme qui fait une comparaison de perspectives entre deux tableaux sans rien en dire d’autre.
La suite est de plus en plus colorée, natures mortes et paysages, Une salle est consacrée à une installation vidéo montrant les quatre saisons. Ailleurs sont des autoportraits dessinés. J’aime assez ceux en noir et blanc.
La dernière salle est consacrée aux « Peintures fraîches ». La plus récente date de deux mille dix-sept et se nomme en français La naissance, la copulation et la mort. Voilà ce qui nous reste quand on vient aux choses sérieuses. Elle montre un couple qui baise sur un lit près d’un berceau garni.
Sur le mur du Centre Pompidou, avant la sortie de sa rétrospective, David Hockney de passage à Paris a écrit « Love life ».
Aucune attente pour entrer mais du monde à l’intérieur, je passe vite dans les deux premières salles qui montrent les tâtonnements de la jeunesse et arrive au bord de la piscine qui est automatiquement associée au nom de Hockney.
La peinture de David Hockney ne m’excite guère, superficielle et lisse qu’elle est. Que cette exposition ait lieu au moment de l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron est une coïncidence non dénuée de sens. D’ailleurs n’est-ce pas lui, Macron, de profil dans ce tableau de mil neuf cent soixante-neuf ? Il montre le duo Henry Geldzahler/Christopher Scott. Ce dernier, montré de profil, est le quasi sosie par anticipation de notre Jupiter.
Un groupe en visite guidée suit une femme qui fait une comparaison de perspectives entre deux tableaux sans rien en dire d’autre.
La suite est de plus en plus colorée, natures mortes et paysages, Une salle est consacrée à une installation vidéo montrant les quatre saisons. Ailleurs sont des autoportraits dessinés. J’aime assez ceux en noir et blanc.
La dernière salle est consacrée aux « Peintures fraîches ». La plus récente date de deux mille dix-sept et se nomme en français La naissance, la copulation et la mort. Voilà ce qui nous reste quand on vient aux choses sérieuses. Elle montre un couple qui baise sur un lit près d’un berceau garni.
Sur le mur du Centre Pompidou, avant la sortie de sa rétrospective, David Hockney de passage à Paris a écrit « Love life ».