Ce lundi, fraîchement détartré par mon dentiste contre la somme de quarante-trois euros trente-huit, je me rends à la gare pour me faire rembourser du voyage à Paris annulé lors de la canicule de juillet. L’ami Georges de l’Hôtel de l’Europe m’ayant imprimé le mail devant me servir de preuve pour obtenir un remboursement intégral, et non partiel comme voulait l’imposer l’autre fois l’ordinateur de la Senecefe. Surprise, lorsque l’employée tape ma référence de dossier, le remboursement intégral est indiqué d’emblée et mon mail devenu inutile.
L’après-midi, vu la chaleur, je renonce à prendre un café verre d’eau au Sacre car en l’absence de son parasol récemment disparu, il faudrait que je m’installe sous l’auvent et je ne veux plus subir la musique à plein pot imposé à la clientèle par deux membres de son personnel, Mister Cumbia et Miss Le Mouv. J’opte donc pour une place à l’ombre au Flo’s (anciennement Les Floralies), où le café n’est qu’à un euro quarante, et ma foi j’y suis fort bien pour lire les Lettres à Denise Lévy de Simone Breton entouré de jeunes bourgeoises dans leurs petites robes de rentrée.
*
Terminé le bruit assourdissant généré par les ouvriers de la flèche de Notre-Dame de Rouen. Ils sont toujours là mais se contentent de taper un peu dans la tôle, s’apostrophant parfois l’un l’autre ou poussant un cri quand ça va mal : « Ah merde, putain ! ». Que Dieu leur pardonne.
*
« Bouge pas, maman revient, reste avec tata. » (une femme allant aux toilettes et parlant à son chien)
L’après-midi, vu la chaleur, je renonce à prendre un café verre d’eau au Sacre car en l’absence de son parasol récemment disparu, il faudrait que je m’installe sous l’auvent et je ne veux plus subir la musique à plein pot imposé à la clientèle par deux membres de son personnel, Mister Cumbia et Miss Le Mouv. J’opte donc pour une place à l’ombre au Flo’s (anciennement Les Floralies), où le café n’est qu’à un euro quarante, et ma foi j’y suis fort bien pour lire les Lettres à Denise Lévy de Simone Breton entouré de jeunes bourgeoises dans leurs petites robes de rentrée.
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Terminé le bruit assourdissant généré par les ouvriers de la flèche de Notre-Dame de Rouen. Ils sont toujours là mais se contentent de taper un peu dans la tôle, s’apostrophant parfois l’un l’autre ou poussant un cri quand ça va mal : « Ah merde, putain ! ». Que Dieu leur pardonne.
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« Bouge pas, maman revient, reste avec tata. » (une femme allant aux toilettes et parlant à son chien)