Voici celle qui me tenait autrefois la main partie en vacances bien méritées et moi bénéficiant de son appartement durant ce temps. Une bétaillère de début d’après-midi m’emmène à Saint-Lazare où je prends le métro douze jusqu’à Jules Joffrin. Je n’ai qu’à tirer ma nouvelle valise sur quelques centaines de mètres pour y être.
Quand je ressors, je vais boire un diabolo menthe à la terrasse de Chez Dionis au bout de la rue Letort, d’où j’observe la vie de ce sympathique quartier. A ma droite sont deux femmes dont l’une a déjà accouché et l’autre pas encore. Il est question du trousseau demandé par Trousseau. A ma gauche, deux professeures et un professeur des écoles se livrent à leur occupation préférée de fin de semaine : « boire des coups ». Leur conversation, professionnelle, ne m’est pas trop pénible.
Je passe ensuite au Gé Vingt faire des emplettes puis profite de l’ambiance sonore générée par des branlotin(e)s dans la rue tout en réfléchissant à mes projets : parcourir quelques vide greniers et traîner mes guêtres dans des communes périphériques afin de vérifier le propos d’Alphonse Allais : Les environs de Paris sont les plus beaux environs du monde.
Quand je ressors, je vais boire un diabolo menthe à la terrasse de Chez Dionis au bout de la rue Letort, d’où j’observe la vie de ce sympathique quartier. A ma droite sont deux femmes dont l’une a déjà accouché et l’autre pas encore. Il est question du trousseau demandé par Trousseau. A ma gauche, deux professeures et un professeur des écoles se livrent à leur occupation préférée de fin de semaine : « boire des coups ». Leur conversation, professionnelle, ne m’est pas trop pénible.
Je passe ensuite au Gé Vingt faire des emplettes puis profite de l’ambiance sonore générée par des branlotin(e)s dans la rue tout en réfléchissant à mes projets : parcourir quelques vide greniers et traîner mes guêtres dans des communes périphériques afin de vérifier le propos d’Alphonse Allais : Les environs de Paris sont les plus beaux environs du monde.