A défaut de pouvoir me balader dans les bois (en aurais-je envie si j’y étais autorisé, ça m’étonnerait), je profite désormais, lors de ma promenade dérogatoire quotidienne de moins d’une heure, d’une traversée de la forêt de sapins du parvis de la Cathédrale, une vraie forêt car aux trois grands sapins en plastique s’est ajoutée une vingtaine de petits sapins en bois et aiguilles, des arbres morts comme dit le Maire de Bordeaux.
Cette nature en conserve ne se suffira pas à elle-même, je le crains. Ce mercredi matin, je la découvre jouxtée d’une grosse scène de concert aux enceintes qui dépotent, comme le montrent les essais de micro qu’on y fait.
Ici bientôt s’agglutinera une foule d’humains. Alors que dans les boutiques on n’en tolèrera qu’un pour huit mètres carré. Et pas plus de trente à la messe dans l’immense Cathédrale (mais on va revenir là-dessus car les évêques ne sont pas contents).
Cette nature en conserve ne se suffira pas à elle-même, je le crains. Ce mercredi matin, je la découvre jouxtée d’une grosse scène de concert aux enceintes qui dépotent, comme le montrent les essais de micro qu’on y fait.
Ici bientôt s’agglutinera une foule d’humains. Alors que dans les boutiques on n’en tolèrera qu’un pour huit mètres carré. Et pas plus de trente à la messe dans l’immense Cathédrale (mais on va revenir là-dessus car les évêques ne sont pas contents).