L’autre semaine, me disant « Tiens cela fait longtemps que cette fille avec qui je suis « ami » sur Effe Bé ne donne plus de ses nouvelles», je découvre que je n’en suis plus.
Je lui envoie ce message :
« Je n'avais pas encore remarqué que tu m’avais viré de ta liste d'« amis ». S'il y a une chose que je regrette bien, c'est de t'avoir offert un livre un jour. »
Elle me répond ceci :
« Bonsoir Michel, Oui en effet j'avais supprimé beaucoup d'amis masculins quand j'étais avec mon ex compagnon. Navrée que tu le prennes ainsi. »
Comment aurais-je dû le prendre ? Et quelle logique de faire suivre sa rencontre avec ce garçon néo barbu, qu’on aurait pu croire choisi sur catalogue tant il était typique du genre, par cette élimination ? Voyait-elle ces hommes comme un cheptel dans lequel elle aurait pu puiser et dont elle n’avait plus l’usage ?
Déjà, autrefois, au moment de sa rencontre avec celui qu’elle appelait son fiancé, cette fille m’avait écrit qu’elle n’avait plus le temps de boire un verre avec moi en raison de l’intensité de sa vie amoureuse et de sa vie professionnelle.
La vie amoureuse a tourné court. Quant à sa vie professionnelle… je viens de comprendre qu’elle est liée à ce magasin de déco de la rue Saint-Nicolas dont j’ai écrit que je lui voyais peu d’avenir (ça, cela aurait pu être une bonne raison de me supprimer).
Je lui envoie ce message :
« Je n'avais pas encore remarqué que tu m’avais viré de ta liste d'« amis ». S'il y a une chose que je regrette bien, c'est de t'avoir offert un livre un jour. »
Elle me répond ceci :
« Bonsoir Michel, Oui en effet j'avais supprimé beaucoup d'amis masculins quand j'étais avec mon ex compagnon. Navrée que tu le prennes ainsi. »
Comment aurais-je dû le prendre ? Et quelle logique de faire suivre sa rencontre avec ce garçon néo barbu, qu’on aurait pu croire choisi sur catalogue tant il était typique du genre, par cette élimination ? Voyait-elle ces hommes comme un cheptel dans lequel elle aurait pu puiser et dont elle n’avait plus l’usage ?
Déjà, autrefois, au moment de sa rencontre avec celui qu’elle appelait son fiancé, cette fille m’avait écrit qu’elle n’avait plus le temps de boire un verre avec moi en raison de l’intensité de sa vie amoureuse et de sa vie professionnelle.
La vie amoureuse a tourné court. Quant à sa vie professionnelle… je viens de comprendre qu’elle est liée à ce magasin de déco de la rue Saint-Nicolas dont j’ai écrit que je lui voyais peu d’avenir (ça, cela aurait pu être une bonne raison de me supprimer).