Je ne sais pas dans quel état sera le monde dans cinq ans, s’il sera encore possible d’organiser une Election Présidentielle en France. Faisons l’hypothèse que oui et comme je ne sais pas non plus dans quel état je serai à cette date, ni même si je serai encore là, donnons le résultat dès maintenant.
Chez les Macronistes, cela s’est vu à leur attitude tout l’été, Gérald Darmanin et Bruno Lemaire seront candidats à la succession d’Emmanuel Macron, A qui s’ajoutera Edouard Philippe. Du côté de l’autre Droite, il faudra compter avec Laurent Wauquiez et Xavier Bertrand. On pourrait donc avoir jusqu’à cinq candidats, deux au minimum.
A l’Extrême-Droite, Le Pen y retournera (ou un remplaçant) et si la Nupés tient le coup, Mélenchon (ou un remplaçant) sera possiblement le seul candidat de la Gauche, laquelle a vu ce que ça donnait quand elle se présentait séparée.
Dans cette circonstance éventuelle, au premier tour Le Pen (ou son remplaçant) et Mélenchon (ou son remplaçant) seront à trente pour cent. Les quarante pour cent restant seront pour la Droite, à partager entre les cinq ou quatre ou trois ou deux Macronistes et non Macronistes.
Et alors, au second tour, Le Pen (ou son remplaçant) pourrait faire face à Mélenchon (ou son remplaçant) et gagnerait avec les voix de Droite, une partie votant pour, une partie s’abstenant.
Avoir Mélenchon (ou son remplaçant) au second tour, c’est l’assurance de donner le pouvoir à Le Pen (ou son remplaçant). C’est là où je voulais en venir.
*
Mon point de vue sur la situation actuelle : « On est bien dans la merde ». (On représentant les humains.)
Chez les Macronistes, cela s’est vu à leur attitude tout l’été, Gérald Darmanin et Bruno Lemaire seront candidats à la succession d’Emmanuel Macron, A qui s’ajoutera Edouard Philippe. Du côté de l’autre Droite, il faudra compter avec Laurent Wauquiez et Xavier Bertrand. On pourrait donc avoir jusqu’à cinq candidats, deux au minimum.
A l’Extrême-Droite, Le Pen y retournera (ou un remplaçant) et si la Nupés tient le coup, Mélenchon (ou un remplaçant) sera possiblement le seul candidat de la Gauche, laquelle a vu ce que ça donnait quand elle se présentait séparée.
Dans cette circonstance éventuelle, au premier tour Le Pen (ou son remplaçant) et Mélenchon (ou son remplaçant) seront à trente pour cent. Les quarante pour cent restant seront pour la Droite, à partager entre les cinq ou quatre ou trois ou deux Macronistes et non Macronistes.
Et alors, au second tour, Le Pen (ou son remplaçant) pourrait faire face à Mélenchon (ou son remplaçant) et gagnerait avec les voix de Droite, une partie votant pour, une partie s’abstenant.
Avoir Mélenchon (ou son remplaçant) au second tour, c’est l’assurance de donner le pouvoir à Le Pen (ou son remplaçant). C’est là où je voulais en venir.
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Mon point de vue sur la situation actuelle : « On est bien dans la merde ». (On représentant les humains.)