Dans le logement Air Bibi du dessous, un couple hier, deux couples cette nuit, le premier ayant été rejoint par un second. Il est encore plus certain qu’ils ne baiseront pas et donc aucune chance qu’ils s’endorment tôt.
C’est la cata, je les entends toute la nuit, parlant fort, riant aux éclats, poussant des cris, car ils s’occupent à des jeux de société ou à regarder des vidéos pendant des heures. A quatre heures du matin, je finis par taper sur le sol avec le balai, ce qui les fait taire. Cette nuit, je n’aurai pas dormi plus de trois heures.
Avant de sortir, j’envoie un message à mon logeur pour lui demander d’intervenir mais je ne suis pas rassuré pour l’avenir. Il n’y a aucune isolation phonique entre les deux niveaux et le rez-de-chaussée fait caisse de résonnance.
C’est pas très frais que je descends vers la plage du Casino. J’achète deux crêpes un euro vingt à la boulangerie et les mange avec un allongé au Mustang. Tel est mon petit-déjeuner, grâce auquel je tiens à peu près debout. Le soleil est là ce samedi marin. Par le sentier de randonnée, je rejoins le Poisson Rouge où je peux lire un long moment en terrasse.
Pas d’ouvriers ce jour aux Plaisanciers, des gens du coin qui, comme ils disent, profitent du pont de la Pentecôte. Je déjeune en terrasse au soleil, alors que la plupart veulent y être à l’ombre. Certains gardent pour cela leur manteau d’hiver. La formule à seize euros est mon choix, comme hier. Le plat du jour est poulet rôti au thym. Je reste là plus longtemps que désiré car les serveuses sont débordées par l’affluence.
Par l’intérieur du bourg, je rejoins le Café de la Plage. Cette fois, malgré le vent qui souffle encore, je peux rester à lire après avoir bu mon café. Ma table donne sur la plage du Casino. C’est la première fois que je vois des intrépides se jeter du haut du plongeoir dans la piscine d’eau de mer.
*
Au retour, un message de mon logeur, service minimum : « Bonjour Michel, désolé pour le dérangement. Je vais transmettre aux locataires du dessous afin que ça ne se produise plus. »
C’est la cata, je les entends toute la nuit, parlant fort, riant aux éclats, poussant des cris, car ils s’occupent à des jeux de société ou à regarder des vidéos pendant des heures. A quatre heures du matin, je finis par taper sur le sol avec le balai, ce qui les fait taire. Cette nuit, je n’aurai pas dormi plus de trois heures.
Avant de sortir, j’envoie un message à mon logeur pour lui demander d’intervenir mais je ne suis pas rassuré pour l’avenir. Il n’y a aucune isolation phonique entre les deux niveaux et le rez-de-chaussée fait caisse de résonnance.
C’est pas très frais que je descends vers la plage du Casino. J’achète deux crêpes un euro vingt à la boulangerie et les mange avec un allongé au Mustang. Tel est mon petit-déjeuner, grâce auquel je tiens à peu près debout. Le soleil est là ce samedi marin. Par le sentier de randonnée, je rejoins le Poisson Rouge où je peux lire un long moment en terrasse.
Pas d’ouvriers ce jour aux Plaisanciers, des gens du coin qui, comme ils disent, profitent du pont de la Pentecôte. Je déjeune en terrasse au soleil, alors que la plupart veulent y être à l’ombre. Certains gardent pour cela leur manteau d’hiver. La formule à seize euros est mon choix, comme hier. Le plat du jour est poulet rôti au thym. Je reste là plus longtemps que désiré car les serveuses sont débordées par l’affluence.
Par l’intérieur du bourg, je rejoins le Café de la Plage. Cette fois, malgré le vent qui souffle encore, je peux rester à lire après avoir bu mon café. Ma table donne sur la plage du Casino. C’est la première fois que je vois des intrépides se jeter du haut du plongeoir dans la piscine d’eau de mer.
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Au retour, un message de mon logeur, service minimum : « Bonjour Michel, désolé pour le dérangement. Je vais transmettre aux locataires du dessous afin que ça ne se produise plus. »