La trêve va se terminer, les Jeux Paralympiques menacent. A Rouen, cela se traduit par le retour de la flamme. Cette nouvelle procession du Saint-Sacrement ne me gênera pas. Ce dimanche en fin d’après-midi que ferais-je en ville ?
Ce samedi, déjà des restrictions de stationnement, mais rien qui puisse me gêner pour rejoindre pédestrement la Gare de Rouen afin d’y imprimer mes billets de train de mercredi. Il me faut trouver un automate en état de marche. L’un semble fonctionner mais, au bout de la procédure, l’obtention du billet ne peut se faire faute de papier dans la machine. Je recommence ailleurs. Heureusement, la Gare de Rouen dispose de pas mal d’automates.
Le problème avec mes billets en papier qui ressemblent à des tickets de caisse, c’est que depuis quelques semaines leur Cul Air Code n’est plus lisible aux bornes Ile de France et aux bornes Normandie de la Gare Saint-Lazare. A mon arrivée à Paris, je franchis les barrières à Pécresse en collant aux fesses de la personne qui me précède. Au retour, à chaque fois, je suis bloqué aux barrières à Morin. Un Gilet Rouge Nomad doit venir à mon secours et me faire passer avec son badge. Evidemment, quand le contrôleur passe, mon billet n’est pas reconnu par son scanneur. Il doit le vérifier à l’ancienne, en lisant avec ses yeux ce qui est écrit. En conséquence, je ne compte pas dans le nombre des voyageurs.
*
Une jeune touriste, découvrant la succession d’inscriptions à la peinture rouge « Le bruit tue ! », la première à la sortie de la copropriété où je vis, les suivantes à gauche dans la ruelle : « C’est fou de faire ça. »
Ce samedi, déjà des restrictions de stationnement, mais rien qui puisse me gêner pour rejoindre pédestrement la Gare de Rouen afin d’y imprimer mes billets de train de mercredi. Il me faut trouver un automate en état de marche. L’un semble fonctionner mais, au bout de la procédure, l’obtention du billet ne peut se faire faute de papier dans la machine. Je recommence ailleurs. Heureusement, la Gare de Rouen dispose de pas mal d’automates.
Le problème avec mes billets en papier qui ressemblent à des tickets de caisse, c’est que depuis quelques semaines leur Cul Air Code n’est plus lisible aux bornes Ile de France et aux bornes Normandie de la Gare Saint-Lazare. A mon arrivée à Paris, je franchis les barrières à Pécresse en collant aux fesses de la personne qui me précède. Au retour, à chaque fois, je suis bloqué aux barrières à Morin. Un Gilet Rouge Nomad doit venir à mon secours et me faire passer avec son badge. Evidemment, quand le contrôleur passe, mon billet n’est pas reconnu par son scanneur. Il doit le vérifier à l’ancienne, en lisant avec ses yeux ce qui est écrit. En conséquence, je ne compte pas dans le nombre des voyageurs.
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Une jeune touriste, découvrant la succession d’inscriptions à la peinture rouge « Le bruit tue ! », la première à la sortie de la copropriété où je vis, les suivantes à gauche dans la ruelle : « C’est fou de faire ça. »