Le Journal de Michel Perdrial
Le Journal de Michel Perdrial



Loïc Boyer
Je suis l’auteur de textes courts qui furent publiés depuis mil neuf cent quatre-vingt-quinze dans des revues littéraires en France (Supérieur Inconnu, Supplément d’Ame, Nouvelle Donne, Le Bord de l’Eau, Pris de Peur, l’Art du Bref, Sol’Air, Gros Textes, Salmigondis, Verso, Décharge, Bulle, Filigranes, Diérèse, Martobre, Comme ça et Autrement, (Cahier d’) Ecritures, La Nef des Fous), en Belgique (Traversées, Ecrits Vains, L’Arbre à Plumes, Inédit Nouveau, Bleu d’Encre), au Canada (Les Saisons Littéraires) et en Italie (Les Cahiers du Ru).
Les courageuses Editions du Chardon ont publié en mil neuf cent quatre-vingt-dix-neuf Erotica, un recueil de vingt-huit de ces textes, illustré par Isabelle Pio et Antoine Lopez et préfacé par Sarane Alexandrian, toujours disponible auprès de moi.
Je suis également l’auteur d’une pièce de théâtre et de plusieurs romans ou récits à ce jour inédits.
Depuis le onze novembre deux mille six, je publie mon Journal via Internet, un temps sous-titré Persiflages, moquages et autres énervages mâtinés de complimentages et de contentages. Sa première partie est lisible chez Eklablog, la deuxième ici.
Je vis au centre de Rouen dans un ancien monastère où autrefois les Sœurs de la Miséricorde se vouaient à l’éducation des jeunes filles.







Rss

Et trois livres de plus

26 novembre 2024


Comme si je n’avais pas déjà trop de livres, il faut que vendredi matin je me laisse aller à en acheter trois par correspondance, la faute à Gibert Joseph et à ses prix bas sans rapport avec ceux pratiqués dans la boutique du boulevard Saint-Michel, Journal Tome 1, Les Années Hongroises (1943-1948) de Sándor Márai (Albin Michel), Journal 1946-1949 de Max Frisch (Gallimard) et Ceux qui ne dormaient pas - Journal, 1944-1946 de Jacqueline Mesnil-Amar (Stock), le tout pour sept euros quatre-vingt-dix, sans frais de port, un colis qui ne traîne pas, arrivé chez Axel Telecom ce lundi après-midi.
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Retrouvé ça, prélevé sut une page des Archives de la Seine Maritime :
« Avant le 18e siècle, l'intimité n'existe pas. L'historienne Arlette Farge a montré pour Paris qu'on allait souvent chercher dans les buissons et bosquets cette intimité que l’on n'avait pas chez soi. A Rouen, en 1684, la Ville fait arracher des arbres plantés par les Augustins dans une prairie hors la porte Martainville, car des personnes « commettent plusieurs débauches » sous les arbres. »
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L’autre jour, dans Les Midis de Culture, Marie Labory s’excuse d’avoir mégenré, ayant pris un pour une ou l’inverse.
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Dans le même genre, je ne sais plus quelle boutique rouennaise affichait la semaine dernière des prix remisés.
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Azerbaïdjan, une Cop Vingt-Neuf à bas coût.