Il ne pleut pas ce dimanche de passage à l’heure d’hiver quand au matin je me dirige vers un énième vide grenier Grand Pont Champmeslé. Dans ces deux rues parallèles ont pris place une trentaine de vendeurs dont une majorité de professionnel(le)s. Il y a là quelques livres mais sans le moindre intérêt pour moi. En cette fin octobre règne sur l’évènement une ambiance tristounette que je retrouve au marché du Clos Saint-Marc. Côté brocante, la seule à qui parfois j’achète des livres est absente. Côté victuailles, je me contente d’un neufchâtel et d’une part de couscous.
La veille, j’ai eu plus de chance sur ce marché en trouvant parmi les livres d’un vendeur sympathique qui a le défaut de souvent déballer tard Journal intime d’un mélancolique 1762-1769 de James Boswell (Hachette), un exemplaire un peu fatigué pour lequel j’ai déboursé deux euros.
*
« Non mais franchement, regarde, on dirait des fausses maisons. Franchement. » Non mais franchement, les touristes dans la ruelle, ils sont toujours aussi bêtes. Franchement.
La veille, j’ai eu plus de chance sur ce marché en trouvant parmi les livres d’un vendeur sympathique qui a le défaut de souvent déballer tard Journal intime d’un mélancolique 1762-1769 de James Boswell (Hachette), un exemplaire un peu fatigué pour lequel j’ai déboursé deux euros.
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« Non mais franchement, regarde, on dirait des fausses maisons. Franchement. » Non mais franchement, les touristes dans la ruelle, ils sont toujours aussi bêtes. Franchement.