Très peu de navetteurs dans le sept heures vingt-deux d’après Noël mais des familles avec enfants en bas-âge tôt levés retour d’agapes familiales. Le contrôleur n’attend pas avant de vérifier « les titres de transport ». Je lis Enfance salentine de Gianluca Virgilio, Un regard d’adulte sur une enfance qui n’est pas sans me rappeler la mienne par certains aspects (l’absence de salle de bains par exemple).
« Où sont les gens ? », disent les rares présents Gare Saint-Lazare. Comme je ne peux me laisser porter par le flot habituel, il me faut réfléchir pour rejoindre le quai de la ligne Quatorze.
Emile et Amin sont au Marché d’Aligre, deux nouvelles et jolies employées chez Re-Read, là comme ici je n’achète rien.
Huîtres gratinées au parmesan (trois seulement) et chou farci au canard dans la formule du jour d'Au Diable des Lombards. Je suis fort déçu du chou farci, de la farce sans goût, du peu de chou, du tas de riz dans de la sauce tomate, rien qui me rappelle l’Auvergne.
L’après-midi, on voit bien que les Parisiens absents sont remplacés par du tout-venant, des visiteurs arrivés des provinces et des pays étrangers, souvent chargés de famille, approximatifs et donc encombrants.
L’important pour moi ce jour, c’est de trouver un guichet de métro sans file d’attente. Ce que je finis par obtenir à Quatre Septembre. Il s’agit de faire charger ma seconde carte Easy Navigo de trente voyages à un euro soixante-treize avant l’augmentation du premier janvier. De la première carte, je n’aurai utilisé que deux voyages. Me voilà donc avec une réserve de cinquante-huit voyages qui me durera le temps d’une quinzaine de mercredis, quarante-quatre euros d’économie.
Quant à ma récolte de livres à un euro dans les trois Book-Off ce jeudi de lendemain de Noël, elle est maigre. Quelques-uns dont j’espère faire commerce. C’est tout
Peu de monde dans le seize heures quarante du retour qui emmène également les voyageurs du quinze heures quarante supprimé pour une raison inconnue. J’y termine Enfance salentine, un livre achevé d’imprimer en deux mille seize par Edit Santoro à Galatina (Italie).
« Où sont les gens ? », disent les rares présents Gare Saint-Lazare. Comme je ne peux me laisser porter par le flot habituel, il me faut réfléchir pour rejoindre le quai de la ligne Quatorze.
Emile et Amin sont au Marché d’Aligre, deux nouvelles et jolies employées chez Re-Read, là comme ici je n’achète rien.
Huîtres gratinées au parmesan (trois seulement) et chou farci au canard dans la formule du jour d'Au Diable des Lombards. Je suis fort déçu du chou farci, de la farce sans goût, du peu de chou, du tas de riz dans de la sauce tomate, rien qui me rappelle l’Auvergne.
L’après-midi, on voit bien que les Parisiens absents sont remplacés par du tout-venant, des visiteurs arrivés des provinces et des pays étrangers, souvent chargés de famille, approximatifs et donc encombrants.
L’important pour moi ce jour, c’est de trouver un guichet de métro sans file d’attente. Ce que je finis par obtenir à Quatre Septembre. Il s’agit de faire charger ma seconde carte Easy Navigo de trente voyages à un euro soixante-treize avant l’augmentation du premier janvier. De la première carte, je n’aurai utilisé que deux voyages. Me voilà donc avec une réserve de cinquante-huit voyages qui me durera le temps d’une quinzaine de mercredis, quarante-quatre euros d’économie.
Quant à ma récolte de livres à un euro dans les trois Book-Off ce jeudi de lendemain de Noël, elle est maigre. Quelques-uns dont j’espère faire commerce. C’est tout
Peu de monde dans le seize heures quarante du retour qui emmène également les voyageurs du quinze heures quarante supprimé pour une raison inconnue. J’y termine Enfance salentine, un livre achevé d’imprimer en deux mille seize par Edit Santoro à Galatina (Italie).