Ce lundi seize, je quitte le Puy de Dôme et attaque les Pyrénées, première étape les Atlantiques. Soixante-quatre ans, ce n’est pas excitant.
Heureusement, bientôt arrive celle venue de Paris pour l’occasion avec qui je prends un thé. Elle m’offre le meilleur cadeau qui soit : les deux volumes des Lettres au Castor et à quelques autres de Jean-Paul Sartre, dont j’entreprendrai la lecture quand j’en aurai terminé avec le volume deux des Lettres à Sartre de Simone de Beauvoir.
A midi, nous mettons le cap sur Le Cap vers…, restaurant de la rue de République aux allures de brasserie dont la cuisine est l’objet de bonnes critiques. J’y ai retenu une table. Celle qui nous échoit est idéalement située en retrait, contre la vitre. Nous pouvons parler tranquillement.
Je commande deux kirs royaux et nous optons pour deux menus à vingt-quatre euros quatre-vingt-dix, dont l’un, hasard heureux, nous est offert par ATwoPrix.com : œuf cocotte pour elle, foie gras maison pour moi, Saint-Jacques au chorizo avec frites maison pour nous deux, cela fort bon, et pour finir un honnête dessert : le gourmand aux pommes. Le chablis conseillé par la sociable serveuse s’avère délicieux et à l’issue la bouteille est vide comme le constate le chef : « Alors, on n’a rien laissé pour le petit personnel ? »
C’est un endroit populaire comme on les aime, où les habitué(e)s embrassent le personnel petit et grand. Nous sommes heureux de constater que nous nous entendons toujours aussi bien et je le suis de ce repas d’anniversaire.
Après une courte sieste à la maison, il lui faut repartir. Demain sera un autre jour qu’elle passera à travailler sur un mystérieux projet dans une campagne proche d’Amsterdam. De mon côté, la journée commencera par une visite chez le médecin qui j’espère ne me confortera pas dans l’idée que les Pyrénées-Atlantiques ne me valent rien. Je me souviens trop bien de la clavicule cassée à Espelette.
Heureusement, bientôt arrive celle venue de Paris pour l’occasion avec qui je prends un thé. Elle m’offre le meilleur cadeau qui soit : les deux volumes des Lettres au Castor et à quelques autres de Jean-Paul Sartre, dont j’entreprendrai la lecture quand j’en aurai terminé avec le volume deux des Lettres à Sartre de Simone de Beauvoir.
A midi, nous mettons le cap sur Le Cap vers…, restaurant de la rue de République aux allures de brasserie dont la cuisine est l’objet de bonnes critiques. J’y ai retenu une table. Celle qui nous échoit est idéalement située en retrait, contre la vitre. Nous pouvons parler tranquillement.
Je commande deux kirs royaux et nous optons pour deux menus à vingt-quatre euros quatre-vingt-dix, dont l’un, hasard heureux, nous est offert par ATwoPrix.com : œuf cocotte pour elle, foie gras maison pour moi, Saint-Jacques au chorizo avec frites maison pour nous deux, cela fort bon, et pour finir un honnête dessert : le gourmand aux pommes. Le chablis conseillé par la sociable serveuse s’avère délicieux et à l’issue la bouteille est vide comme le constate le chef : « Alors, on n’a rien laissé pour le petit personnel ? »
C’est un endroit populaire comme on les aime, où les habitué(e)s embrassent le personnel petit et grand. Nous sommes heureux de constater que nous nous entendons toujours aussi bien et je le suis de ce repas d’anniversaire.
Après une courte sieste à la maison, il lui faut repartir. Demain sera un autre jour qu’elle passera à travailler sur un mystérieux projet dans une campagne proche d’Amsterdam. De mon côté, la journée commencera par une visite chez le médecin qui j’espère ne me confortera pas dans l’idée que les Pyrénées-Atlantiques ne me valent rien. Je me souviens trop bien de la clavicule cassée à Espelette.