Quatre élues dans la première sélection faite parmi la dizaine de villes françaises candidates au titre de Capitale Européenne de la Culture deux mille vingt-huit et parmi celles-ci Rouen, ce à quoi ne s’attendait manifestement pas Le Journal des Arts qui dans son numéro de janvier écrivait :
« Axée sur le partage des connaissances et des savoirs, la candidature de Rouen a un tropisme environnemental et scientifique, et en oublie presque la culture. Elle se présente devant le jury sans programmation concrète car celle-ci sera élaborée par la suite avec les habitants. “On ne veut pas d’un programme atterrissant brutalement sur le territoire” justifie Rebecca Armstrong, la déléguée générale ».
C’est peut-être en raison de ce presque oubli de la culture que Rouen a été sélectionnée, car comme je l’ai déjà écrit, ce titre de Capitale Européenne de la Culture est donné à qui en manque afin de l’encourager à redresser la situation.
Ça n’en prend pas le chemin si j’en juge par à ce que m’apprend Paris Normandie ce mardi. Le premier point dévoilé du programme en cas de victoire rouennaise : un Festival de la Pluie.
« Le festival aurait lieu entre mars et mai 2028 sur toute la Métropole. Il pourrait intégrer des plaines de jeux ouvertes exclusivement les jours de pluie avec des jeux hydrauliques, des caissons de méditation au rythme des gouttes ou encore des chorégraphies autour de la pluie. »
Dans cette ville, et c’est loin d’être la seule, on confond régulièrement la culture avec le divertissement.
*
Cet énervant « sur toute la Métropole » au lieu d’écrire « dans toute la Métropole ». Encore que s’agissant de la pluie, quand elle tombe, comme ce mardi, c’est bien sur toute la Métropole.
*
Longtemps que je n’avais vendu un livre à quelqu’un de connu. C’est à nouveau le cas cette semaine. Un roman de Clarisse Lispector autrefois publié aux Editions des Femmes. J’aurais dû l’emballer dans de la ouate. De toutes les matières, c’est celle qu’elle préfère.
« Axée sur le partage des connaissances et des savoirs, la candidature de Rouen a un tropisme environnemental et scientifique, et en oublie presque la culture. Elle se présente devant le jury sans programmation concrète car celle-ci sera élaborée par la suite avec les habitants. “On ne veut pas d’un programme atterrissant brutalement sur le territoire” justifie Rebecca Armstrong, la déléguée générale ».
C’est peut-être en raison de ce presque oubli de la culture que Rouen a été sélectionnée, car comme je l’ai déjà écrit, ce titre de Capitale Européenne de la Culture est donné à qui en manque afin de l’encourager à redresser la situation.
Ça n’en prend pas le chemin si j’en juge par à ce que m’apprend Paris Normandie ce mardi. Le premier point dévoilé du programme en cas de victoire rouennaise : un Festival de la Pluie.
« Le festival aurait lieu entre mars et mai 2028 sur toute la Métropole. Il pourrait intégrer des plaines de jeux ouvertes exclusivement les jours de pluie avec des jeux hydrauliques, des caissons de méditation au rythme des gouttes ou encore des chorégraphies autour de la pluie. »
Dans cette ville, et c’est loin d’être la seule, on confond régulièrement la culture avec le divertissement.
*
Cet énervant « sur toute la Métropole » au lieu d’écrire « dans toute la Métropole ». Encore que s’agissant de la pluie, quand elle tombe, comme ce mardi, c’est bien sur toute la Métropole.
*
Longtemps que je n’avais vendu un livre à quelqu’un de connu. C’est à nouveau le cas cette semaine. Un roman de Clarisse Lispector autrefois publié aux Editions des Femmes. J’aurais dû l’emballer dans de la ouate. De toutes les matières, c’est celle qu’elle préfère.