Une mauvaise nuit entre vendredi et samedi, en cause un bruit répétitif et irrégulier déjà subi une fois il y a plusieurs mois et qui m’avait fait songer à un homme enfermé dans un placard voulant se libérer. Ce tapage, débuté vers deux heures du matin, provient du même endroit que la dernière fois me semble-t-il, donc possiblement d’un appartement à l’opposé du mien en diagonale.
Cette fois j’ai une hypothèse car j’ai vu dans l’après-midi l’un des voisins de ce côté-là recevoir un énorme colis. Je me demande s’il ne contenait pas un meuble en morceaux à assembler soi-même. L’homme du placard ne serait pas enfermé dedans mais occupé à le monter à une heure très tardive sans se soucier d’autrui.
Mon hypothèse n’est pas la bonne. Après une courte enquête, je sais que cela provient de moins loin et qu’il s’agît d’un différend entre deux proches voisins, avec l’un qui fait du bruit pour protester contre le bruit de l’autre.
Le problème avec ces maisons à pans de bois, c’est qu’il n’y a aucune isolation phonique. Par chance, jusqu’à présent, depuis plus de vingt ans que je suis ici, je n’ai jamais eu de proches voisins bruyants et quand, exceptionnellement, j’ai été gêné, il a suffi que j’aille le dire pour qu’on en tienne compte.
Cette fois j’ai une hypothèse car j’ai vu dans l’après-midi l’un des voisins de ce côté-là recevoir un énorme colis. Je me demande s’il ne contenait pas un meuble en morceaux à assembler soi-même. L’homme du placard ne serait pas enfermé dedans mais occupé à le monter à une heure très tardive sans se soucier d’autrui.
Mon hypothèse n’est pas la bonne. Après une courte enquête, je sais que cela provient de moins loin et qu’il s’agît d’un différend entre deux proches voisins, avec l’un qui fait du bruit pour protester contre le bruit de l’autre.
Le problème avec ces maisons à pans de bois, c’est qu’il n’y a aucune isolation phonique. Par chance, jusqu’à présent, depuis plus de vingt ans que je suis ici, je n’ai jamais eu de proches voisins bruyants et quand, exceptionnellement, j’ai été gêné, il a suffi que j’aille le dire pour qu’on en tienne compte.