C’est avant que ma commissure gauche blessée par mon dentiste lors de la première séance de gros travaux sur une dent du fond ait eu le temps de cicatriser que je reprends ce lundi après-midi le chemin de son cabinet. Un rendez-vous à seize heures, qui me fait craindre de devoir attendre, mais quand j’arrive la salle d’attente est vide. Sitôt le patient précédent parti c’est à moi.
L’homme de l’art me promet de faire son possible pour ne pas m’abîmer davantage la lèvre, mais vu ma difficulté à ouvrir la bouche en grand il faut bien qu’il se fasse un passage pour atteindre le chantier en cours.
Une seconde fois je supporte ce qu’il fait stoïquement, et sans comprendre. Ce ne sont pas les quelques mots qu’il échange avec sa discrète et efficace assistante qui m’éclairent.
Enfin, au bout d’une demi-heure, c’est terminé. Après m’avoir mis une pommade cicatrisante au coin des lèvres, il m’invite à me lever.
« Donc pour le détartrage on remet ça à plus tard ? », lui demandé-je tandis qu’il insère ma Carte Vitale dans le boîtier. « Ah c’est vrai, j’avais oublié. » Il regarde sa montre, demande à son assistante si le patient suivant est là. Il l’est, mais on peut quand même le faire maintenant si je veux, décide-t-il. J’accepte. « Je suis surpris que vous en vouliez encore. », me dit-il tandis que je me réinstalle.
Après ce que j’ai subi, ce nettoyage est peu de chose. D’autant que je sens qu’il le bâcle un peu. Cette fois, c’est vraiment terminé. Il me reste à prendre un rendez-vous de routine pour fin août, et à croiser les doigts pour que d’ici là ne survienne aucun imprévu.
L’homme de l’art me promet de faire son possible pour ne pas m’abîmer davantage la lèvre, mais vu ma difficulté à ouvrir la bouche en grand il faut bien qu’il se fasse un passage pour atteindre le chantier en cours.
Une seconde fois je supporte ce qu’il fait stoïquement, et sans comprendre. Ce ne sont pas les quelques mots qu’il échange avec sa discrète et efficace assistante qui m’éclairent.
Enfin, au bout d’une demi-heure, c’est terminé. Après m’avoir mis une pommade cicatrisante au coin des lèvres, il m’invite à me lever.
« Donc pour le détartrage on remet ça à plus tard ? », lui demandé-je tandis qu’il insère ma Carte Vitale dans le boîtier. « Ah c’est vrai, j’avais oublié. » Il regarde sa montre, demande à son assistante si le patient suivant est là. Il l’est, mais on peut quand même le faire maintenant si je veux, décide-t-il. J’accepte. « Je suis surpris que vous en vouliez encore. », me dit-il tandis que je me réinstalle.
Après ce que j’ai subi, ce nettoyage est peu de chose. D’autant que je sens qu’il le bâcle un peu. Cette fois, c’est vraiment terminé. Il me reste à prendre un rendez-vous de routine pour fin août, et à croiser les doigts pour que d’ici là ne survienne aucun imprévu.