Avant que la pluie ne vienne ce mercredi à Paris, j’ai le temps d’aller à pied du marché d’Aligre au restaurant chinois New New impasse Beaubourg où l’une des convives est contente d’avoir trouvé une crédence pour sa cuisine. Ne sachant pas ce que c’est, je ne peux partager sa joie.
Il pleut sévèrement quand je ressors. Aussi j’entre au Centre Pompidou et vais voir le nouvel accrochage de l’étage Art Contemporain. Il se présente sous la forme d’une exposition intitulée Cher(e)s Ami(e)s regroupant des œuvres offertes au Musée par des personnes privées, par leurs auteur(e)s, par des galeries, des fondations ou des groupes d’amis. Rien de ce que j’y vois ne me retient. Il est même certaines de ces œuvres que je m’empresserais de remettre en réserve si j’en avais le pouvoir.
La pluie redoublant, je passe à l’étage Art Moderne où il y a toujours de quoi me plaire, puis m’y assois en attendant l’accalmie. Près de moi est un visiteur chinois qui a enlevé ses chaussures. Un gardien passant par là pointe du doigt l’objet du délit. Le coupable se rechausse illico.
Les passages couverts sont une bénédiction les jours de pluie. Celui de Choiseul me permet d’aller du café La Clef des Champs au Book-Off de l’Opéra Garnier sans ouvrir le parapluie. Pour protéger les livres achetés n’y sont disponibles que des sacs de petit format. Finis les sacs noirs de grand format que je recyclais en sacs poubelle.
Bientôt, il n’y aura plus que des sacs blancs « eco friendly » à vingt centimes. C’est émouvant de voir ainsi le monde s’améliorer.
Il pleut sévèrement quand je ressors. Aussi j’entre au Centre Pompidou et vais voir le nouvel accrochage de l’étage Art Contemporain. Il se présente sous la forme d’une exposition intitulée Cher(e)s Ami(e)s regroupant des œuvres offertes au Musée par des personnes privées, par leurs auteur(e)s, par des galeries, des fondations ou des groupes d’amis. Rien de ce que j’y vois ne me retient. Il est même certaines de ces œuvres que je m’empresserais de remettre en réserve si j’en avais le pouvoir.
La pluie redoublant, je passe à l’étage Art Moderne où il y a toujours de quoi me plaire, puis m’y assois en attendant l’accalmie. Près de moi est un visiteur chinois qui a enlevé ses chaussures. Un gardien passant par là pointe du doigt l’objet du délit. Le coupable se rechausse illico.
Les passages couverts sont une bénédiction les jours de pluie. Celui de Choiseul me permet d’aller du café La Clef des Champs au Book-Off de l’Opéra Garnier sans ouvrir le parapluie. Pour protéger les livres achetés n’y sont disponibles que des sacs de petit format. Finis les sacs noirs de grand format que je recyclais en sacs poubelle.
Bientôt, il n’y aura plus que des sacs blancs « eco friendly » à vingt centimes. C’est émouvant de voir ainsi le monde s’améliorer.