Mon occupation du jour, ce jeudi : débloquer.
Je commence par le plus simple, Le Bon Coin, dont je suis parfois client. Quel intérêt pour un site marchand d’empêcher certains d’acheter ou de vendre ? C’est une logique commerciale qui m’échappe. Et je me demande si ça ne pourrait pas faire l’objet d’une plainte pour discrimination.
Qu’un autre s’en charge, car des réfractaires au téléphone portatif, même si, au fil du temps leur nombre s'est réduit (je n’en connais plus), il en est encore. « Je n’ai pas de téléphone portable et je n’en aurai jamais », peste un client du Bon Coin sur un forum. « Dans ce cas, il faudra vous passer du Bon Coin », lui répond-on.
Je m’occupe ensuite d’Effe Bé, retrouvant des ami(e)s à qui, je le constate sans surprise, je n’ai guère manqué. Ce déblocage de réseau social me permet de retrouver Air Bibi, ce qui devient plus intéressant. Depuis quelques jours, j’ai en tête ma prochaine destination. Cela après avoir lu dans Le Figaro un article expliquant que cette ville, où je ne suis jamais allé, était plus intéressante qu’on le croit.
J’y trouve rapidement où me loger à moindre frais pendant plusieurs semaines. J’emporterai mon téléphone. D’ici là, il quittera rarement mon bureau et si l’on me demande mon numéro lors d’une réservation au restaurant ou ailleurs, je continuerai à dire que je n’en ai pas. Tout comme je prétends au laboratoire n’avoir pas d’adresse mail pour obtenir mes résultats de prise de sang sur papier.
*
Vingt ans sans téléphone mobile, ça en fait de l’argent économisé, utile pour aller en vadrouille.
*
La citation qui s’impose : La défaite rend moderne. (Jean Giono, Le Désastre de Pavie)
Je commence par le plus simple, Le Bon Coin, dont je suis parfois client. Quel intérêt pour un site marchand d’empêcher certains d’acheter ou de vendre ? C’est une logique commerciale qui m’échappe. Et je me demande si ça ne pourrait pas faire l’objet d’une plainte pour discrimination.
Qu’un autre s’en charge, car des réfractaires au téléphone portatif, même si, au fil du temps leur nombre s'est réduit (je n’en connais plus), il en est encore. « Je n’ai pas de téléphone portable et je n’en aurai jamais », peste un client du Bon Coin sur un forum. « Dans ce cas, il faudra vous passer du Bon Coin », lui répond-on.
Je m’occupe ensuite d’Effe Bé, retrouvant des ami(e)s à qui, je le constate sans surprise, je n’ai guère manqué. Ce déblocage de réseau social me permet de retrouver Air Bibi, ce qui devient plus intéressant. Depuis quelques jours, j’ai en tête ma prochaine destination. Cela après avoir lu dans Le Figaro un article expliquant que cette ville, où je ne suis jamais allé, était plus intéressante qu’on le croit.
J’y trouve rapidement où me loger à moindre frais pendant plusieurs semaines. J’emporterai mon téléphone. D’ici là, il quittera rarement mon bureau et si l’on me demande mon numéro lors d’une réservation au restaurant ou ailleurs, je continuerai à dire que je n’en ai pas. Tout comme je prétends au laboratoire n’avoir pas d’adresse mail pour obtenir mes résultats de prise de sang sur papier.
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Vingt ans sans téléphone mobile, ça en fait de l’argent économisé, utile pour aller en vadrouille.
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La citation qui s’impose : La défaite rend moderne. (Jean Giono, Le Désastre de Pavie)