Le port d’Hambourg ruisselle de pluie et son corps nu sur le pavé mouillé tangue au son des notes d’accordéon qui s’élancent d’un bar voisin. Sa tête repose dans une flaque d’eau et je m’acharne sur elle à coups de bélier réguliers. Elle geint, ne sait si c’est la souffrance ou le plaisir.
Je lui montre les autres, ceux qui attendent leur tour. Tous ces marins qui ont le sexe prêt à déborder après leur long séjour en mer. Ils ne pensent qu’à une seule chose : la baiser. Fort et bien. C’est ce que je lui dis en la secouant brutalement, sans relâche.
L’un des hommes a ouvert sa braguette et arrose le sol d’un long jet d’urine fumante. Je lui tourne la tête pour qu’elle le voie bien. Elle enfonce ses ongles dans mon dos, me griffe et me zèbre. Elle s’excite de mon corps offert et surtout de savoir qu’il me faudra la voir prise par d’autres.
Elle me supplie :
-Dis-moi encore que je suis une salope et une pute. Insulte-moi. Fais-moi mal. Tue-moi.
Je lui plonge la tête dans l’eau. Elle n’est plus qu’une éponge à pluie, qu’une éponge à sperme. Avilie, pervertie, humiliée, je la fais poupée docile.
Elle jouit avec moi en me mordant les lèvres. C’est un lundi après-midi. Nous sommes nus sur le tapis rouge du salon. Le soleil entre par la porte-fenêtre grande ouverte et chauffe nos corps repus. Nous venons de faire l’amour avec toute la tendresse que nous savons y mettre. Cette fois-ci, je l’ai emmenée à Hambourg se faire sauter par des marins en rut.
-J’ai bien aimé, me dit-elle.
Je lui montre les autres, ceux qui attendent leur tour. Tous ces marins qui ont le sexe prêt à déborder après leur long séjour en mer. Ils ne pensent qu’à une seule chose : la baiser. Fort et bien. C’est ce que je lui dis en la secouant brutalement, sans relâche.
L’un des hommes a ouvert sa braguette et arrose le sol d’un long jet d’urine fumante. Je lui tourne la tête pour qu’elle le voie bien. Elle enfonce ses ongles dans mon dos, me griffe et me zèbre. Elle s’excite de mon corps offert et surtout de savoir qu’il me faudra la voir prise par d’autres.
Elle me supplie :
-Dis-moi encore que je suis une salope et une pute. Insulte-moi. Fais-moi mal. Tue-moi.
Je lui plonge la tête dans l’eau. Elle n’est plus qu’une éponge à pluie, qu’une éponge à sperme. Avilie, pervertie, humiliée, je la fais poupée docile.
Elle jouit avec moi en me mordant les lèvres. C’est un lundi après-midi. Nous sommes nus sur le tapis rouge du salon. Le soleil entre par la porte-fenêtre grande ouverte et chauffe nos corps repus. Nous venons de faire l’amour avec toute la tendresse que nous savons y mettre. Cette fois-ci, je l’ai emmenée à Hambourg se faire sauter par des marins en rut.
-J’ai bien aimé, me dit-elle.