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On se met en jambes?
On se met en jambes avec LCD Soundsystem, 45:33 bien sûr, il fallait bien que ça arrive un jour, là c’est la version remisée par Padded Cell, cette basse fait comme des ressorts dans tes jambes, c’est bon!
Allez on enchaine avec John Tejada, la foulée est toujours souple mais on chope un rythme régulier presque mécanique. Pense: locomotive.
On bounce toujours avec Rex the Dog remixé par M.A.N.D.Y., c’est Prototype et tu as remarqué que l’on a légèrement accéléré le tempo et qu’il suffit de quelques lignes de synthé débiles pour te donner l’impression de voler à travers un champ d’astéroïdes. Fais gaffe quand même, en vrai c’est le boulevard.
Comme on ne se refuse rien on déballe la disco galactique d’Another Excuse de Soulwax remixé par… DFA (bah oui mais au moins c’est cohérent).
À nouveau de la basse synthétique et rebondissante, et puis des bongos, du vocodeur, des filtres, tu nages dans le bonheur en t-shirt mouillé.
Il est temps de calmer le jeu sinon tu ne vas pas finir l’heure, tu m’as déjà fait le coup: Nothingness, comme son nom l’indique, une petite chute de studio que Playgroup vient de sortir en souvenir du bon vieux temps (le sien, pas le tien, mais ici ça fait bien l’affaire).
On repasse à quelque chose de plus lumineux avec le remix du Time Eater de Gold Panda par Fort Romeau. C’est tranquille hein? Tu n’a même plus le sentiment de forcer?
Tu es donc prêt/e à recevoir la house liquide GusGus: Over remisé par Sasse, la sécheresse des handclaps, la profondeur du chant, tu crois que tu cours encore mais en réalité tu danses et ça fait peut-être un moment déjà.
Atom TM va remettre un peu de douleur dans tout ça, ne te laisse tromper par l’intro, Riding the Void (Consumed remix) est un maître exigeant mais c’est une manière de finir à fond et surtout ça n’interdit pas le plaisir, toi-même tu sais.
Aaaaallez on rentre au pas, tout doux, avec les promesses de White Wine and Fried Chicken de Hot Chip qui te font chaud au cœur et te rappellent pourquoi tu fais tout ça.
On se met en jambes avec LCD Soundsystem, 45:33 bien sûr, il fallait bien que ça arrive un jour, là c’est la version remisée par Padded Cell, cette basse fait comme des ressorts dans tes jambes, c’est bon!
Allez on enchaine avec John Tejada, la foulée est toujours souple mais on chope un rythme régulier presque mécanique. Pense: locomotive.
On bounce toujours avec Rex the Dog remixé par M.A.N.D.Y., c’est Prototype et tu as remarqué que l’on a légèrement accéléré le tempo et qu’il suffit de quelques lignes de synthé débiles pour te donner l’impression de voler à travers un champ d’astéroïdes. Fais gaffe quand même, en vrai c’est le boulevard.
Comme on ne se refuse rien on déballe la disco galactique d’Another Excuse de Soulwax remixé par… DFA (bah oui mais au moins c’est cohérent).
À nouveau de la basse synthétique et rebondissante, et puis des bongos, du vocodeur, des filtres, tu nages dans le bonheur en t-shirt mouillé.
Il est temps de calmer le jeu sinon tu ne vas pas finir l’heure, tu m’as déjà fait le coup: Nothingness, comme son nom l’indique, une petite chute de studio que Playgroup vient de sortir en souvenir du bon vieux temps (le sien, pas le tien, mais ici ça fait bien l’affaire).
On repasse à quelque chose de plus lumineux avec le remix du Time Eater de Gold Panda par Fort Romeau. C’est tranquille hein? Tu n’a même plus le sentiment de forcer?
Tu es donc prêt/e à recevoir la house liquide GusGus: Over remisé par Sasse, la sécheresse des handclaps, la profondeur du chant, tu crois que tu cours encore mais en réalité tu danses et ça fait peut-être un moment déjà.
Atom TM va remettre un peu de douleur dans tout ça, ne te laisse tromper par l’intro, Riding the Void (Consumed remix) est un maître exigeant mais c’est une manière de finir à fond et surtout ça n’interdit pas le plaisir, toi-même tu sais.
Aaaaallez on rentre au pas, tout doux, avec les promesses de White Wine and Fried Chicken de Hot Chip qui te font chaud au cœur et te rappellent pourquoi tu fais tout ça.
Enregistrement 18-01-2017 16.16.21.mp3 (77.15 Mo)