Grâce aux efforts conjoints de Michèle Moreau et de Carole Bellet, j’ai passé quelques heures dans la salle de la Joie par les Livres à la BNF.
J’ai creusé dans cette mine et le peu de temps que j’y ai passé m’a fait découvrir énormément de choses, comme La Dent de l’Ours de David McPhail (1972) qui est en quelque sorte le papa de Lili et l’Ours de Raymond Briggs (1994).
Ou Kenny’s Window (1956), le premier livre de Maurice Sendak comme auteur - bavard, bavard.
Que Jan Ormerod est une Australienne là où j’imaginais un Hollandais.
Que Ruth Krauss a travaillé très longtemps avec M. Sendak.
Et pour en finir avec lui, j’ai feuilleté un magnifique catalogue pour une vente aux enchères des ses dessins, affiches et livres à New-York en 1984.
Mais j’ai aussi noté d’autres noms comme Sesyle Joslin, Lois Ehlert, ou Françoise Seignobosc.
Également lu un article sur la littérature européenne pour la jeunesse d’après-guerre.
Signé Fritz Eichenberg qui n’y va pas avec le dos de la cuiller, et qui avait deviné que le Père Castor sentait le sapin.
J’ai enfin découvert qu’à Tokyo une exposition des livres publiés par l’éditrice Susan Hirschman avait donné lieu à un catalogue publié en 1990.
Une nouvelle quête commence…