1968 and the boundaries of childhood - premier jour
Arrivé à Tours en longeant la Loire avec le TER, j’ai assisté à la première journée du colloque consacré à ce que l’on pourrait qualifier de 68 des enfants. Si je t’en parle c’est parce que je parle demain - mais pas de livres pour une fois. Invité par les chercheuses Sophie Heywood et Cécile Boulaire j’ai été plus que bien accueilli.

À l’heure où je t’écris je suis de retour dans ma chambre d’hôtel violette après avoir bavardé avec des camarades originaires du Pérou, du Danemark et des Anglais bien sûr. La soirée s’appelait Wine & cheese et il y avait du pork aussi (des rillons bien frais!).

Non mais sinon avant ça il y a eu les conférences de Olle Widhe (des livres où on l’encourage les enfants à jeter des œufs sur la tête des juges), Lucy Pearson (qui a évoqué l’éphémère mais passionnante Risinghill school) et Matthew Thomson (le territoire de l’enfant dans la Grande-Bretagne de l’après-guerre). Très bien, je n’ai pas tout compris car la langue officielle du colloque est l’anglais, mais très bien quand même. Et bien sûr la conférence publique de Cécile et Sophie qui ont fait en fin d’après-midi un tour de l’édition française pour la jeunesse dans ces années-là.

T’aurais bien aimé être là, pas vrai? Je te mets des images et je te raconte bientôt la deuxième journée.

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