Ce lundi en début d’après-midi, je vois passer devant ma porte le jeune propriétaire du logement Air Bibi dont les occupants de samedi soir m’ont empêché de dormir. Je sors lui parler. Il n’est pas surpris de me voir. Il me dit que son appartement a été plus ou moins saccagé, des meubles sciés, une fenêtre cassée, du sang sur les draps, des bouteilles abandonnées, la déco volée.
Les occupants étaient encore là quand la femme de ménage est arrivée et ils ont refusé de lui ouvrir. Ils ne sont partis qu’au milieu de l’après-midi. Conséquence de tout cela, la location suivante a dû être annulée. D’habitude, il ne fait affaire qu’avec des gens plus âgés. Pour une fois, il a voulu faire confiance à un jeune.
Je lui apprends qu’en plus mon appartement sentait le tabac. « Il n’y avait pas que des cigarettes, me dit-il, j’ai trouvé des restes. » Il me donne son adresse mail, que j’aie un moyen de le contacter en cas de problème. Je lui souhaite bon courage pour tout remettre en ordre.
Les occupants étaient encore là quand la femme de ménage est arrivée et ils ont refusé de lui ouvrir. Ils ne sont partis qu’au milieu de l’après-midi. Conséquence de tout cela, la location suivante a dû être annulée. D’habitude, il ne fait affaire qu’avec des gens plus âgés. Pour une fois, il a voulu faire confiance à un jeune.
Je lui apprends qu’en plus mon appartement sentait le tabac. « Il n’y avait pas que des cigarettes, me dit-il, j’ai trouvé des restes. » Il me donne son adresse mail, que j’aie un moyen de le contacter en cas de problème. Je lui souhaite bon courage pour tout remettre en ordre.