Toute la journée de ce premier mardi d’août, au vu de la météo annoncée pour le lendemain, je me demande si j’annule ou non mon voyage hebdomadaire à Paris. Ce serait raisonnable, grosse pluie le matin et vent violent l’après-midi sont au programme.
Le soir venu, je ne sais toujours pas. Me souvenant du jour où j’ai annulé pour de la neige prévue qui n’est jamais venue, je laisse aller.
Dans la deuxième moitié de la nuit, vers trois heures, une grosse pluie qui dure me le fait regretter. Cette chute d’eau sera à Paris à mon arrivée. Le Marché d’Aligre sera désert. Book-Off n’ouvrira qu’à onze heures et que pourrai-je faire en attendant, à part stagner au Camélia. Ensuite, mon déplacement vers Châtelet sera compliqué par l’arrêt total de la ligne Quatorze pour l’essai des nouvelles rames. Dans l’après-midi, le vent fort devrait commencer et quelles en seront les conséquences sur la circulation de mon train de retour ?
A cinq heures du matin, j’annule. La Senecefe me rembourse la moitié du billet.
*
« Quand donc cessera ce temps pourri ? », se demandent chaque jour les touristes visitant Rouen. Tous ceux qui, par crainte de trop forte chaleur dans la moitié sud, ont choisi de venir ici le regrettent. Ils vont repartir dépités et propager un peu plus l’antienne qu’il pleut toujours en Normandie.
On peut en dire autant de ceux qui sont en vacances sur la côte du Pas-de-Calais ou en Bretagne.
Moi-même, quelle chance j’ai eue de ne pas connaître un pareil temps en juin à Saint-Quay-Portrieux. Cela m’aurait déprimé de parcourir chaque jour à pied le kilomètre entre mon studio Air Bibi et le bord de mer sous cette flotte.
*
« Nous vous présentons toutes nos excuses pour ce comportement totalement inapproprié de notre salarié qui ne reflète pas la manière de travailler de tous ses collègues et l'éthique de notre entreprise. Il sera bien entendu convoqué pour s'expliquer sur ce fâcheux évènement et que nous puissions décider d'une sanction appropriée. », m’écrit le gérant de l’antenne rouennaise de Toutenvélo.
Le soir venu, je ne sais toujours pas. Me souvenant du jour où j’ai annulé pour de la neige prévue qui n’est jamais venue, je laisse aller.
Dans la deuxième moitié de la nuit, vers trois heures, une grosse pluie qui dure me le fait regretter. Cette chute d’eau sera à Paris à mon arrivée. Le Marché d’Aligre sera désert. Book-Off n’ouvrira qu’à onze heures et que pourrai-je faire en attendant, à part stagner au Camélia. Ensuite, mon déplacement vers Châtelet sera compliqué par l’arrêt total de la ligne Quatorze pour l’essai des nouvelles rames. Dans l’après-midi, le vent fort devrait commencer et quelles en seront les conséquences sur la circulation de mon train de retour ?
A cinq heures du matin, j’annule. La Senecefe me rembourse la moitié du billet.
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« Quand donc cessera ce temps pourri ? », se demandent chaque jour les touristes visitant Rouen. Tous ceux qui, par crainte de trop forte chaleur dans la moitié sud, ont choisi de venir ici le regrettent. Ils vont repartir dépités et propager un peu plus l’antienne qu’il pleut toujours en Normandie.
On peut en dire autant de ceux qui sont en vacances sur la côte du Pas-de-Calais ou en Bretagne.
Moi-même, quelle chance j’ai eue de ne pas connaître un pareil temps en juin à Saint-Quay-Portrieux. Cela m’aurait déprimé de parcourir chaque jour à pied le kilomètre entre mon studio Air Bibi et le bord de mer sous cette flotte.
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« Nous vous présentons toutes nos excuses pour ce comportement totalement inapproprié de notre salarié qui ne reflète pas la manière de travailler de tous ses collègues et l'éthique de notre entreprise. Il sera bien entendu convoqué pour s'expliquer sur ce fâcheux évènement et que nous puissions décider d'une sanction appropriée. », m’écrit le gérant de l’antenne rouennaise de Toutenvélo.