Pas moyen de savoir où on en sera dans un mois avec Delta en France métropolitaine. Est-ce que les touristes seront obligés de rentrer chez eux comme c’est le cas maintenant en Martinique ? Ou est-ce que cette nouvelle vague du Covid restera contrôlable ? Je suis incapable de le pressentir. Cette incertitude me conduit à renoncer d’aller faire le touriste au bord de la Méditerranée en septembre. Il va falloir que je me supporte à Rouen.
Des touristes, il y en a à Rouen en ce moment, parmi lesquels des étrangers, parfois même en troupeau comme ces Italiens que j’ai croisés en pestant dans la venelle hier. La guide touristique, espèce que l’on pouvait croire disparue, a repris son activité mécanique.
D’autres touristes étrangers, en petits groupes ou en familles, parcourent également le quartier. Ce mardi matin, nombreux sont celles et ceux qui prennent leur petit-déjeuner à la terrasse de la Boulangerie du Carré d’Or, rue Saint-Nicolas, dont je suis le client quotidien.
-Vous avez dû contrôler le passe sanitaire de toutes ces personnes, plains-je la vendeuse de service.
-Ah non, nous on n’a pas à le faire, me répond-elle.
Je la détrompe.
-Ah bon, on ne m’a rien dit.
Ce « on » doit désigner la patronne, absente ce jour.
Des touristes, il y en a à Rouen en ce moment, parmi lesquels des étrangers, parfois même en troupeau comme ces Italiens que j’ai croisés en pestant dans la venelle hier. La guide touristique, espèce que l’on pouvait croire disparue, a repris son activité mécanique.
D’autres touristes étrangers, en petits groupes ou en familles, parcourent également le quartier. Ce mardi matin, nombreux sont celles et ceux qui prennent leur petit-déjeuner à la terrasse de la Boulangerie du Carré d’Or, rue Saint-Nicolas, dont je suis le client quotidien.
-Vous avez dû contrôler le passe sanitaire de toutes ces personnes, plains-je la vendeuse de service.
-Ah non, nous on n’a pas à le faire, me répond-elle.
Je la détrompe.
-Ah bon, on ne m’a rien dit.
Ce « on » doit désigner la patronne, absente ce jour.