Ce mardi matin, lorsque j’appelle la secrétaire de mon médecin traitant, je n’ai quasiment aucun espoir d’obtenir un rendez-vous pour le jour même, le seul possible pour moi car le mercredi il ne consulte pas, et ensuite…
Et pourtant : « Dix heures » me dit-elle.
Je montre une nouvelle fois mes yeux et surtout mes paupières à mon généraliste en lui disant que le traitement de la fois précédente n’a rien fait.
Cette fois, il parle d’eczéma et comme moi soupçonne le matériel non désinfecté de l’usine ophtalmologique. Il me donne un traitement de cheval, pommade, cortisone et antibiotiques, dans lequel il a, me dit-il, bon espoir. Le risque évidemment, c’est que l’opération de la cataracte doive être reportée.
On verra, comme disent ceux qui y voient plus ou moins bien.
Et pourtant : « Dix heures » me dit-elle.
Je montre une nouvelle fois mes yeux et surtout mes paupières à mon généraliste en lui disant que le traitement de la fois précédente n’a rien fait.
Cette fois, il parle d’eczéma et comme moi soupçonne le matériel non désinfecté de l’usine ophtalmologique. Il me donne un traitement de cheval, pommade, cortisone et antibiotiques, dans lequel il a, me dit-il, bon espoir. Le risque évidemment, c’est que l’opération de la cataracte doive être reportée.
On verra, comme disent ceux qui y voient plus ou moins bien.