« André Blanchard, né en 1951, vit à Vesoul, où il fait l’ange gardien dans une galerie d’art. » indiquait sobrement Le Dilettante sur le rabat du dernier livre de cet auteur que j’aie lu, il y a une quinzaine de jours, trouvé chez Détéherre, la bouquinerie que je fréquente tous les lundis. Son titre : Autres directions.
André Blanchard vient de prendre la dernière, ce vingt-neuf septembre deux mille quatorze, le jour de la Saint-Michel, celle qui mène au cimetière, âgé de soixante-trois ans, étant né deux semaines avant moi, une nouvelle qui m’attriste fort. La cigarette y est pour quelque chose.
C’en est donc fini du bougon de Vesoul que m’avait fait découvrir Loïc Boyer lorsqu’il était en purgatoire dans cette ville.
*
Tout ce que j’aurai demandé aux phrases, c’est qu’elles me remplacent ; en clair, qu’elles m’épargnent d’avoir à vulgariser mon extrait de naissance. (André Blanchard, cité dans Le Matricule des Anges numéro quatre-vingt en février deux mille sept, dont le dossier était à lui consacré)
André Blanchard vient de prendre la dernière, ce vingt-neuf septembre deux mille quatorze, le jour de la Saint-Michel, celle qui mène au cimetière, âgé de soixante-trois ans, étant né deux semaines avant moi, une nouvelle qui m’attriste fort. La cigarette y est pour quelque chose.
C’en est donc fini du bougon de Vesoul que m’avait fait découvrir Loïc Boyer lorsqu’il était en purgatoire dans cette ville.
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Tout ce que j’aurai demandé aux phrases, c’est qu’elles me remplacent ; en clair, qu’elles m’épargnent d’avoir à vulgariser mon extrait de naissance. (André Blanchard, cité dans Le Matricule des Anges numéro quatre-vingt en février deux mille sept, dont le dossier était à lui consacré)