Le jour où ça s’est débloqué

7 décembre 2017


Sans réponse au courrier postal contenant les photocopies de mes papiers d’identité désormais exigées par la Banque de France envoyé à Price Minister il y a des semaines (après que les photocopies faites par deux employés de la maison en son siège de la rue Réaumur ont été déclarées illisibles), je demande ce lundi matin à Georges-André, l’aimable tenancier de l’Hôtel de l’Europe, s’il serait d’accord pour faire des photos de ma carte d’identité avec son téléphone et les transmettre via Internet. « Bien sûr », me répond-t-il.
Un quart d’heure plus tard, je suis sur place. La procédure se déroule sans accroc. Rentré chez moi, j’ai un message m’indiquant que mes documents sont à l’étude. Ce mardi après-midi, ils sont validés. Illico, je remets ma boutique en service.
Que de temps perdu pour avoir suivi la voie du papier. Cette malheureuse expérience m’aura montré qu’en cas de problème, inutile d’espérer une réponse personnalisée de cette entreprise de commerce en ligne.
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Autre blocage ce mardi matin : impossible de mettre en ligne mon texte du jour. Mon Journal n’apparaît même plus, ce qui est flippant.
Je contacte l’ami Loïc qui l’abrite gratuitement à l’intérieur de la structure qu’il loue pour ses propres activités. « Le site a dû être sécurisé », m’écrit-il. Il intervient auprès de son hébergeur. Celui-ci est plus réactif que Price Minister. En quelques heures, l’affaire est réglée.
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L’ébahissement de l’ami Georges quand je lui apprends que non seulement je n’ai pas de téléphone pouvant prendre des photos et accéder à Internet, mais que je n’ai pas de téléphone du tout.
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L’une des raisons est qu’à l’instantané, je préfère le différé. Le mail n’exige pas une réponse immédiate.