Il fait beau ce jeudi matin à l’heure où je passe pédestrement le pont Boieldieu. Pourtant, rive gauche, là où l’on pouvait autrefois garer sa voiture gratuitement, nul ne se fait bronzer. Seule une femme stationne sur la pelouse. Elle lui sert de crottoir pour son chien.
J’arrive au boulevard Clemenceau sur lequel sont installés pour la dernière fois les brocanteurs et les bouquinistes qui la semaine prochaine rejoindront la place des Emmurées rénovée. Celles et ceux qui au fil des mois ont déserté seront, j’espère, de retour. Cette ultime matinée, peu sont présents. Je ne peux que constater l’inutilité de mon déplacement. Je reviens par le pont Corneille.
L’après-midi, je réponds à la lettre recommandée tandis qu’à l’horizon monte un orage qui n’éclatera pas.
J’arrive au boulevard Clemenceau sur lequel sont installés pour la dernière fois les brocanteurs et les bouquinistes qui la semaine prochaine rejoindront la place des Emmurées rénovée. Celles et ceux qui au fil des mois ont déserté seront, j’espère, de retour. Cette ultime matinée, peu sont présents. Je ne peux que constater l’inutilité de mon déplacement. Je reviens par le pont Corneille.
L’après-midi, je réponds à la lettre recommandée tandis qu’à l’horizon monte un orage qui n’éclatera pas.