C’est brutalement que j’arrive au bout de ma relecture du Journal des Goncourt qui aura occupé une bonne partie de mon année deux mille vingt et un. Le troisième volume de l’édition Bouquins/Laffont se termine par un épais index des noms cités et donc rien ne me laissait prévoir que je lisais sa fin ce jeudi peu après mon arrivée au Socrate où je prends chaque jour le risque de boire un café à l’intérieur malgré le fait qu’on n’y demande pas le passe sanitaire et l’absence de masques lors des déplacements de la clientèle et du personnel.
La dernière note du Journal des Goncourt est insignifiante. On y apprend que faire le chien, c’est faire le marché avec sa bonne.
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Plusieurs fois dans son Journal Edmond évoque sa peur d’être malade ou de mourir chez autrui. Il meurt d'une embolie pulmonaire fulgurante le seize juillet mil huit cent quatre-vingt-seize à Champrosay dans la maison de campagne d’Alphonse Daudet où il est invité à villégiaturer.
*
Daudet était son seul ami. En conséquence, lui et sa femme sont très souvent présents dans ce Journal. Alphonse se laisse parfois aller à des confidences. Ainsi le samedi trente juillet mil huit cent quatre-vingt-douze : A Lyon, tenez, une petite fille de quatorze ans, mettant contre ma chair la chair de son corps à travers son pantalon… J’ai toujours contre moi le moule de son corps, le ressaut de son petit mont de Vénus… Oh ! cette Marie M***… Oh ! cette blonde qui avait cette odeur de lait chauffé par le soleil. Cela se passait, je vous ai dit, quand elle avait quatorze ans…
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Nouvelle lecture, bien différente : Lettres à Anne de François Mitterrand. Par coïncidence, il est question du Studio SM dans une des premières lettres que le politicien de quarante-sept ans envoie à Anne Pingeot, à l’insu de ses parents car elle a vingt ans et est donc mineure.
La dernière note du Journal des Goncourt est insignifiante. On y apprend que faire le chien, c’est faire le marché avec sa bonne.
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Plusieurs fois dans son Journal Edmond évoque sa peur d’être malade ou de mourir chez autrui. Il meurt d'une embolie pulmonaire fulgurante le seize juillet mil huit cent quatre-vingt-seize à Champrosay dans la maison de campagne d’Alphonse Daudet où il est invité à villégiaturer.
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Daudet était son seul ami. En conséquence, lui et sa femme sont très souvent présents dans ce Journal. Alphonse se laisse parfois aller à des confidences. Ainsi le samedi trente juillet mil huit cent quatre-vingt-douze : A Lyon, tenez, une petite fille de quatorze ans, mettant contre ma chair la chair de son corps à travers son pantalon… J’ai toujours contre moi le moule de son corps, le ressaut de son petit mont de Vénus… Oh ! cette Marie M***… Oh ! cette blonde qui avait cette odeur de lait chauffé par le soleil. Cela se passait, je vous ai dit, quand elle avait quatorze ans…
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Nouvelle lecture, bien différente : Lettres à Anne de François Mitterrand. Par coïncidence, il est question du Studio SM dans une des premières lettres que le politicien de quarante-sept ans envoie à Anne Pingeot, à l’insu de ses parents car elle a vingt ans et est donc mineure.