Quoi qu’il m’arrive désormais, j’aurai revu longuement ce cher Massif Central et cette chère Bretagne.
Maintenant, il me faut subir ce nouveau confinement. Cela sera fort pénible mais quand même moins que le premier, car son instauration ne remet pas en cause des projets déjà enclenchés ni des envies que j’aurais eues.
Novembre est un mois que je déteste, que j’ai longtemps pressenti comme celui de ma mort. Maintenant, j’ai étendu cette appréhension à tous les mois de l’année, me demandant pour chacun si ce n’est pas le dernier.
Par ailleurs, comme il est visible dans les rues de Rouen où je sors trois fois ce vendredi (boulangerie, U Express, Poste), ce confinement ne se traduit pas par la désertification de la ville. Cela ressemble à un dimanche, quand la plupart des commerces sont fermés.
La question se pose de savoir si ce confinement allégé aura une efficacité comparable au premier et même s’il aura une efficacité tout court. On verra. Pour l’instant, la situation s’envenime tous les jours et partout.
Ainsi dans ma ville natale, Louviers, où comme l’écrit avec légèreté Paris Normandie « Le deuxième confinement commence dans la difficulté pour l’établissement Korian ».
Dans cet Ehpad, sept décès dus au Covid ont eu lieu depuis le quatorze octobre. Sur les quatre-vingt-dix résidents, cinquante-sept sont positifs. La direction avec la même légèreté juge que « C’est un chiffre impressionnant, oui, mais soixante-dix pour cent d’entre eux sont asymptomatiques. C’est une bonne nouvelle ».
Vingt-six membres du personnel se sont également révélés positifs. Sachant les précautions qui sont prises dans ce genre d’établissement, j’imagine comment ce virus circule partout ailleurs.
*
Collage de féministes intégristes rouennaises à proximité du sexe-chope de la rue de la République, côté petite porte discrète : « Porno = haine des femmes ».
*
En écho, ce propos de rue : « Oui tu peux t’habiller comme tu veux, mais y a une différence entre être sexy et ressembler à une pute. » (une fille à une autre fille)
Maintenant, il me faut subir ce nouveau confinement. Cela sera fort pénible mais quand même moins que le premier, car son instauration ne remet pas en cause des projets déjà enclenchés ni des envies que j’aurais eues.
Novembre est un mois que je déteste, que j’ai longtemps pressenti comme celui de ma mort. Maintenant, j’ai étendu cette appréhension à tous les mois de l’année, me demandant pour chacun si ce n’est pas le dernier.
Par ailleurs, comme il est visible dans les rues de Rouen où je sors trois fois ce vendredi (boulangerie, U Express, Poste), ce confinement ne se traduit pas par la désertification de la ville. Cela ressemble à un dimanche, quand la plupart des commerces sont fermés.
La question se pose de savoir si ce confinement allégé aura une efficacité comparable au premier et même s’il aura une efficacité tout court. On verra. Pour l’instant, la situation s’envenime tous les jours et partout.
Ainsi dans ma ville natale, Louviers, où comme l’écrit avec légèreté Paris Normandie « Le deuxième confinement commence dans la difficulté pour l’établissement Korian ».
Dans cet Ehpad, sept décès dus au Covid ont eu lieu depuis le quatorze octobre. Sur les quatre-vingt-dix résidents, cinquante-sept sont positifs. La direction avec la même légèreté juge que « C’est un chiffre impressionnant, oui, mais soixante-dix pour cent d’entre eux sont asymptomatiques. C’est une bonne nouvelle ».
Vingt-six membres du personnel se sont également révélés positifs. Sachant les précautions qui sont prises dans ce genre d’établissement, j’imagine comment ce virus circule partout ailleurs.
*
Collage de féministes intégristes rouennaises à proximité du sexe-chope de la rue de la République, côté petite porte discrète : « Porno = haine des femmes ».
*
En écho, ce propos de rue : « Oui tu peux t’habiller comme tu veux, mais y a une différence entre être sexy et ressembler à une pute. » (une fille à une autre fille)