Confiné (deux) cinq

4 novembre 2020


Ce mardi, c’est le début de mon nouveau parcours médical.
Dans la fraîcheur du petit matin, tandis que s’installent deux vendeurs de fruits et légumes sur la place Saint-Marc, j’attends seul devant la porte du laboratoire d’analyse médicale. Celle-ci s’ouvre à sept heures précises. Mon ordonnance enregistrée, je suis pris en charge par l’infirmière qui sait voir ma veine. Elle me pique sans hésiter et sans douleur.
Je passe la journée à ne pas faire grand-chose puis à seize heures trente vais chercher mes résultats. C’est toujours mauvais pour mon foie.
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Activité de peu d’intérêt pour époque de peu d’intérêt : faire brûler le stock de bougies achetées dans les vide greniers au temps où j’étais bien accompagné.