J’ai place en loge ce vendredi soir à l’Opéra de Rouen. Schubert et Mendelssohn sont au programme. Pour le second, The Purcell Singers ont fait le voyage. Grâce au Réseau ACT qui développe des projets culturels dans l’euro-région, nous annonce Laurent Bondi au micro. Ce réseau a également permis la présence d’étudiant(e)s anglais(e)s ayant réalisé un journal à la gloire de l’imprimerie, lequel est à disposition gratuitement.
Le Maestro, lui, est japonais et vit à Berlin. Il s’agit de Kazuki Yamada. L’« un des chefs les plus en vue de sa génération » (né en soixante-dix-neuf), explique le livret programme exceptionnellement bilingue. Les hommes de l’Orchestre sont de nouveau en cravate rouge. Le timbalier est exilé côté cour pour laisser place aux choristes.
Kazuki Yamada dirige d’abord la Symphonie numéro deux en si bémol majeur de Franz Schubert et est jugé favorablement à l’entracte pendant lequel beaucoup retrouvent des connaissances, abordées souvent d’un « Toujours les mêmes » et parfois d’un « C’est rare de vous voir ici, ma chère ».
A la reprise, The Purcell Singers, « l’un des chœurs de chambre londoniens les plus en vue », prend place derrière les musicien(ne)s pour la Symphonie numéro deux « Lobgesang » (version avec chœur et trois solistes) de Felix Mendelssohn. Un des étudiants anglais, deux rangées devant, filme la performance qui à l’issue est applaudie longuement. Kazuki Yamada congratule les solistes : Elodie Kimmel (soprano), Majdouline Zerari (mezzo-soprano), Szabolcs Brickner (ténor), la chef d’attaque des premiers violons : Liana Gourdjia et le chef de chœur : Mark Ford, lequel est aussi avocat international basé à Dehli et administrateur d’une organisation caritative promouvant le théâtre auprès de la jeunesse d’Angleterre.
Avant de quitter les lieux, j’attrape l’un des journaux à la gloire de l’imprimerie. C’est pour offrir.
*
Glissé dans le livret programme, un tract signé des organisations d’employeurs et d’employés du domaine culturel : « Pour que vivent les orchestres symphoniques et lyriques, les chœurs et les théâtres d’opéra ». On s’y inquiète de la disparition de nombreux orchestres en Europe et dans le monde (Etats-Unis, Argentine). Ainsi en est-il à l’Opéra de Rome où les cent quatre-vingt-deux musiciens et choristes ont été licenciés brutalement.
Le Maestro, lui, est japonais et vit à Berlin. Il s’agit de Kazuki Yamada. L’« un des chefs les plus en vue de sa génération » (né en soixante-dix-neuf), explique le livret programme exceptionnellement bilingue. Les hommes de l’Orchestre sont de nouveau en cravate rouge. Le timbalier est exilé côté cour pour laisser place aux choristes.
Kazuki Yamada dirige d’abord la Symphonie numéro deux en si bémol majeur de Franz Schubert et est jugé favorablement à l’entracte pendant lequel beaucoup retrouvent des connaissances, abordées souvent d’un « Toujours les mêmes » et parfois d’un « C’est rare de vous voir ici, ma chère ».
A la reprise, The Purcell Singers, « l’un des chœurs de chambre londoniens les plus en vue », prend place derrière les musicien(ne)s pour la Symphonie numéro deux « Lobgesang » (version avec chœur et trois solistes) de Felix Mendelssohn. Un des étudiants anglais, deux rangées devant, filme la performance qui à l’issue est applaudie longuement. Kazuki Yamada congratule les solistes : Elodie Kimmel (soprano), Majdouline Zerari (mezzo-soprano), Szabolcs Brickner (ténor), la chef d’attaque des premiers violons : Liana Gourdjia et le chef de chœur : Mark Ford, lequel est aussi avocat international basé à Dehli et administrateur d’une organisation caritative promouvant le théâtre auprès de la jeunesse d’Angleterre.
Avant de quitter les lieux, j’attrape l’un des journaux à la gloire de l’imprimerie. C’est pour offrir.
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Glissé dans le livret programme, un tract signé des organisations d’employeurs et d’employés du domaine culturel : « Pour que vivent les orchestres symphoniques et lyriques, les chœurs et les théâtres d’opéra ». On s’y inquiète de la disparition de nombreux orchestres en Europe et dans le monde (Etats-Unis, Argentine). Ainsi en est-il à l’Opéra de Rome où les cent quatre-vingt-deux musiciens et choristes ont été licenciés brutalement.