Vendredi treize novembre deux mille quinze, une bonne soirée avec le chœur accentus et l’Orchestre de l’Opéra de Rouen dirigés par Laurence Equilbey pour un concert intitulé Guerre et Paix. S’y succèdent la Cantate sur la mort de Joseph II de Ludwig van Beethoven, Le Roi Etienne du même et Kampf und Sieg (Bataille et Victoire) de Carl Maria von Weber, tout cela diffusé en direct sur Radio Classique, ce qui permet aux amis de Stockholm autrefois abonnés ici d’en être.
Rentré à la maison, je songe au texte que je vais écrire, qui devra commencer par l’attrayante mise en garde de Frédéric Roels, Directeur, relative à la présence des micros sur la scène « Je vous invite à réprimer tous les bruits parasites qui pourraient vous tenter » et puis je mets en marche mon ordinateur et apprends l’horreur, tous ces morts à Paris, au Bataclan surtout, et ailleurs, notamment dans cette rue de Charonne que je connais bien.
J’appelle celle pour qui j’ai peur. Elle est dehors, à une terrasse, pas du tout consciente de la gravité de ce qui se passe. Je lui dis de rentrer, chez elle ou ailleurs, mais ne suis pas sûr qu’elle le fasse.
Cette fois c’est vraiment la Guerre, et pour ce qui est de la Paix…
Rentré à la maison, je songe au texte que je vais écrire, qui devra commencer par l’attrayante mise en garde de Frédéric Roels, Directeur, relative à la présence des micros sur la scène « Je vous invite à réprimer tous les bruits parasites qui pourraient vous tenter » et puis je mets en marche mon ordinateur et apprends l’horreur, tous ces morts à Paris, au Bataclan surtout, et ailleurs, notamment dans cette rue de Charonne que je connais bien.
J’appelle celle pour qui j’ai peur. Elle est dehors, à une terrasse, pas du tout consciente de la gravité de ce qui se passe. Je lui dis de rentrer, chez elle ou ailleurs, mais ne suis pas sûr qu’elle le fasse.
Cette fois c’est vraiment la Guerre, et pour ce qui est de la Paix…