Samedi dernier, je constate qu’à nouveau le chauffe-eau fuit dans son réduit. J’y place un récipient avant que cela ne cause un nouveau dégadézo chez la voisine du dessous.
Lundi matin, j’envoie un mail à l’agence Cegimmo qui gère ma location. La réponse est rapide, me donnant le numéro du plombier choisi. Je l’appelle. Il me propose de passer en début d’après-midi.
Le diagnostic est sans appel. Ce chauffe-eau est mort, bien qu’il n’ait que quinze ans et soit d’un excellent modèle. L’homme de l’art fait des photos, envoie son rapport à l’agence, qui va demander l’accord de ma propriétaire.
-Si vous n’avez pas de nouvelles jeudi, rappelez Cegimmo, me dit-il.
Ce ne sera pas nécessaire. Jeudi tôt, il me téléphone pour me proposer le remplacement de l’engin ce vendredi matin. « On sera là vers huit heures trente, neuf heures, le temps d’arriver à se garer dans votre quartier. »
En attendant, j’assemble et écris mon texte sur l’oncle de Samuel Pepys et dois recommencer deux fois par la faute de deux coupures d’électricité. Tout est redevenu normal quand par ma fenêtre ouverte, je vois arriver deux ouvriers porteurs d’un long tuyau jaune.
Ils comptent s’en servir pour vider l’actuel chauffe-eau avant de le remplacer par le nouveau. Problème, il est situé bien trop loin de la salle d’eau. Ils se voient déjà obligés de vider seau par seau, ce qui ne les enchante guère, mais soudain l’apprenti a une idée. Si on passait le tuyau par la fenêtre. Hélas, il est trop court. Un conduit de pévécé récupéré dans la voiture permet de le prolonger. Cette méthode moyenâgeuse plairait beaucoup aux touristes mais nul n’est là pour voir ça.
La suite des opérations est beaucoup plus classique. Deux heures plus tard, j’ai un nouveau chauffe-eau. Il me reste à remercier les deux intervenants.
-De rien, on est payé pour ça, me répondent-ils.
*
Autre point positif de cette fin de semaine, le secrétariat de l’ophtalmologue de la Clinique Mathilde m’envoie un mail pour me proposer un rendez-vous mi-juin.
Lundi matin, j’envoie un mail à l’agence Cegimmo qui gère ma location. La réponse est rapide, me donnant le numéro du plombier choisi. Je l’appelle. Il me propose de passer en début d’après-midi.
Le diagnostic est sans appel. Ce chauffe-eau est mort, bien qu’il n’ait que quinze ans et soit d’un excellent modèle. L’homme de l’art fait des photos, envoie son rapport à l’agence, qui va demander l’accord de ma propriétaire.
-Si vous n’avez pas de nouvelles jeudi, rappelez Cegimmo, me dit-il.
Ce ne sera pas nécessaire. Jeudi tôt, il me téléphone pour me proposer le remplacement de l’engin ce vendredi matin. « On sera là vers huit heures trente, neuf heures, le temps d’arriver à se garer dans votre quartier. »
En attendant, j’assemble et écris mon texte sur l’oncle de Samuel Pepys et dois recommencer deux fois par la faute de deux coupures d’électricité. Tout est redevenu normal quand par ma fenêtre ouverte, je vois arriver deux ouvriers porteurs d’un long tuyau jaune.
Ils comptent s’en servir pour vider l’actuel chauffe-eau avant de le remplacer par le nouveau. Problème, il est situé bien trop loin de la salle d’eau. Ils se voient déjà obligés de vider seau par seau, ce qui ne les enchante guère, mais soudain l’apprenti a une idée. Si on passait le tuyau par la fenêtre. Hélas, il est trop court. Un conduit de pévécé récupéré dans la voiture permet de le prolonger. Cette méthode moyenâgeuse plairait beaucoup aux touristes mais nul n’est là pour voir ça.
La suite des opérations est beaucoup plus classique. Deux heures plus tard, j’ai un nouveau chauffe-eau. Il me reste à remercier les deux intervenants.
-De rien, on est payé pour ça, me répondent-ils.
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Autre point positif de cette fin de semaine, le secrétariat de l’ophtalmologue de la Clinique Mathilde m’envoie un mail pour me proposer un rendez-vous mi-juin.