Un mail, envoyé mercredi par le Secours Populaire, m’apprend que celui-ci organise une vente de livres vendredi samedi et dimanche au Centre Commercial des Docks.
J’ai la flemme de marcher jusque-là vendredi à cause du froid, lequel froid est encore présent ce samedi matin, mais comme c’est le jour des transports en commun gratuits, je monte vers neuf heures et quart dans un bus Teor chauffé.
La vente commence officiellement à dix heures mais les livres sont déjà accessibles quand j’arrive sur place. Le premier à me faire signe se trouve au premier rang d’un des cartons contenant les bandes dessinées à deux euros, dans lesquels ordinairement je ne fouille jamais. C’est l’Opus 5 de Mordillo publié chez Glénat. Je le mets dans mon sac.
Nous sommes peu autour des tables. Se trouve là un que je n’aime pas croiser, L’à bonnet au téléphone, un revendeur un peu honteux qui croit qu’on ne le voit pas quand il demande à son instrument si ça vaut le coup ou pas d’acheter ce livre pour en faire commerce. Il a l’air grippé, toussant, mouchant, une raison supplémentaire pour s’en tenir à distance.
Une fois de plus, je constate que le deuxième jour d’une vente du Secours Pop, il y a encore de quoi me plaire. Ainsi parmi les livres de poche à un euro je trouve Mémoires de Louise Michel (Folio) et parmi les grands formats à deux euros : Rabelais de Mireille Huchon (Gallimard), Le livre de l’intranquillité, édition intégrale de Fernando Pessoa (Christian Bourgois), Balzac, Paris d’Eric Hazan (La Fabrique) et Parfois l’homme de Sébastien Bailly (Le Tripode).
Mon obole versée aux deux membres du Secours Populaire qui tiennent la caisse, je rentre à l’aide d’un Teor.
*
Il faut croire que je n’en ai pas assez car en début d’après-midi, je récidive et trouve encore, à deux euros, Le procès de Gilles de Rais de Georges Bataille dans l’édition qu’en fit Jean-Jacques Pauvert et, pour seulement quatre euros, Sem, l’énorme monographie consacrée à ce dessinateur et caricaturiste par Madeleine Bonnelle et Marie-José Meneret chez Fanlac.
J’ai la flemme de marcher jusque-là vendredi à cause du froid, lequel froid est encore présent ce samedi matin, mais comme c’est le jour des transports en commun gratuits, je monte vers neuf heures et quart dans un bus Teor chauffé.
La vente commence officiellement à dix heures mais les livres sont déjà accessibles quand j’arrive sur place. Le premier à me faire signe se trouve au premier rang d’un des cartons contenant les bandes dessinées à deux euros, dans lesquels ordinairement je ne fouille jamais. C’est l’Opus 5 de Mordillo publié chez Glénat. Je le mets dans mon sac.
Nous sommes peu autour des tables. Se trouve là un que je n’aime pas croiser, L’à bonnet au téléphone, un revendeur un peu honteux qui croit qu’on ne le voit pas quand il demande à son instrument si ça vaut le coup ou pas d’acheter ce livre pour en faire commerce. Il a l’air grippé, toussant, mouchant, une raison supplémentaire pour s’en tenir à distance.
Une fois de plus, je constate que le deuxième jour d’une vente du Secours Pop, il y a encore de quoi me plaire. Ainsi parmi les livres de poche à un euro je trouve Mémoires de Louise Michel (Folio) et parmi les grands formats à deux euros : Rabelais de Mireille Huchon (Gallimard), Le livre de l’intranquillité, édition intégrale de Fernando Pessoa (Christian Bourgois), Balzac, Paris d’Eric Hazan (La Fabrique) et Parfois l’homme de Sébastien Bailly (Le Tripode).
Mon obole versée aux deux membres du Secours Populaire qui tiennent la caisse, je rentre à l’aide d’un Teor.
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Il faut croire que je n’en ai pas assez car en début d’après-midi, je récidive et trouve encore, à deux euros, Le procès de Gilles de Rais de Georges Bataille dans l’édition qu’en fit Jean-Jacques Pauvert et, pour seulement quatre euros, Sem, l’énorme monographie consacrée à ce dessinateur et caricaturiste par Madeleine Bonnelle et Marie-José Meneret chez Fanlac.